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Historique de l’hôpital : depuis 1970

Depuis la réforme hospitalière

Dans les années 1970, la réforme hospitalière modifie le contexte hospitalier et le centre d’Astugue ouvre une section long séjour en 1980. L’établissement maintient également une activité de moyen séjour.
En 1974, le Préventorium devient « centre d’Astugue, cure, soins et convalescence ». Les chambres à 1 lit se développent, les sanitaires sont améliorés, la salle de kinésithérapie agrandie. Le recrutement géographique devient entièrement régional, la moyenne d’âge augmente considérablement, le taux d’occupation se stabilise.

L’équipement médical connaît alors un développement important pour prendre en charge les patients atteints de pathologies variées (affections respiratoires (mais plus de tuberculose), affections neuro-psychiatriques, cancers, affections cardio-vasculaires, convalescence d’interventions chirurgicales….

Au début des années 80, un projet d’humanisation permet la création d’une nouvelle aile. L’équipe soignante est agrandie, elle comprend notamment 2 médecins pneumologues, un médecin généraliste attaché, une surveillante, 10 infirmières….
L’activité n’est pas modifiée jusqu’en 1997. Le projet d’établissement de 1994 propose toujours 73 lits de moyen séjour et 20 lits de long séjour. Dans les années 90, un nouveau projet architectural comprenant la restructuration complète des bâtiments est lancé. Après deux ans de travaux, à la veille du deuxième millénaire, l’établissement devient l’hôpital Le Montaigu avec une structure d’hébergement entièrement modernisée et adaptée au projet médical.

 

Son évolution continue puisqu’en 2004, les 20 lits de long séjour sont fermés. L’hôpital Le Montaigu comprend 88 lits de soins de suite et de réadaptation, avec 15 lits d’hospitalisation de semaine. L’intégration de moyens en personnel permet l’amélioration de la qualité de la prise en charge.

En 2007, l’établissement obtient l’autorisation d’exercer une activité de réadaptation et de réhabilitation respiratoire, confirmée en 2010, après la parution des décrets réformant l’activité des soins de suite et de réadaptation. Une autorisation d’exercer une prise en charge spécialisée dans les affections liées aux conduites addictives est également accordée, ainsi que quatre programmes d’éducation thérapeutique, renforçant ainsi une activité existante depuis une dizaine d’années.